Cette narration visuelle juxstapose la beauté fragile de la rose au grotesque de la viande, dégoulinante de sang épais. Elle oppose également la matière végétale à la matière animale, ainsi que la vie à la mort. La chair, modelée en objet représentatif de beauté, de pureté et de sensualité devient objet de fascination. Ainsi, elle peint un portrait à la fois macabre et délicat de l'organique qui invite à la curiosité morbide.